CONTRE LA MEDICALIZACION DANS L'ENFANCE
J’ai rendu compte de tout cela à l’actuel Président du Parlement Européen, Don Josepe Borrell qui a donné une suite officielle à ma plainte pour absence de TRANSPARENCE À LA COMMISSION EUROPÉENNE.
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Je viens solliciter votre intervention afin que ce Parlement:
3° Ouvre une enquête sur la validité scientifique des autorisations accordées par la EMEA [1] aux produits médicaux au moyen de ce procédé aberrant. 4° Établisse une ordonnance de justice transparente par laquelle les autorisations de prescription de substances médicinales soient accordées d’après des études, des preuves et des enquêtes réalisées par des organismes présentant des garanties d’indépendance par rapport à l’industrie pharmaceutique. D’innombrables études et enquêtes publiées ces dernières années établissent que l’énorme augmentation de l’utilisation d’antidépresseurs accroissant le niveau de sérotonine souvent prescrits en association avec d’autres médicaments, qui eux aussi l’accroissent, constituent une menace pour la santé et la vie du patient ; la Commission Européenne n’en a pas pris connaissance, tenant pour valide le seul rapport du laboratoire fabriquant. On accorde aux professionnels médicaux l’autorisation de décider lesquelles de nos idées ou de nos conduites doivent être écrites, diagnostiquées, traitées, médicamentées et même droguées avec l’approbation de la Commission Européenne. Le système démocratique, si laborieusement conquis, court le risque de céder le pas, de façon très voilée, à un nouvelle sorte d’état totalitaire prétendant classer des enfants et des jeunes gens comme dépendants, angoissés, dépressifs, phobiques, anorexiques, boulimiques, attaqués de panique, bipolaires, asthmatiques, épileptique, hyperactifs, etc. et les soumettre à des médications ségrégationnistes et invalidantes, qui effacent d’un trait de plume les droits et les libertés individuelles pour la conquête desquels ont lutté et même sacrifié leur vies des générations entières d’êtres humains qui ont assis les bases de la société démocratique dans laquelle nous vivons. Juan Pundik |